Champagne brut grand cru 2002, Egly-Ouriet. Non seulement c’est très bon, mais en plus le garçon qui fait ça, Francis Égly, est drôle et sympathique. Dans le genre champagne de vigneron, on est au sommet de l’échelle, la tête dans les étoiles.
Blanc Oltrepo’ Pavese 2011, Sillery, Frecciarossa. Un pinot noir de la région de Pavie, vinifié en blanc. Tous les commentaires de dégustation de Thierry Desseauve en vidéo sur mybettanedesseauve.fr, cette semaine. C'est lui qui m'a donné cette bouteille, bravo et merci.
Rouge beaune-grèves 2007, Vigne de l’Enfant-Jésus, Bouchard Père & Fils, en magnum. Une immensité qui a rassemblé la table dans une communion spirituelle rare. Les autres vins ont fait l’unanimité, mais lui plus. C’est le silence qui parle, dans ces cas-là.
Jeune, oui. Un grand vin est bon tout le temps, en fait.
Liquoreux monbazillac 1958, réserve du Theulet, château de la Fonvieille. L’acajou profond d’un Riva bien entretenu. Voilà une curiosité qui avait mangé tout son sucre, laissant une acidité de convenance et une complexité magnifique dans une symphonie d’abricots, de miel, de citron vert. Je n’ai pas retrouvé ce que j’aime tant dans les beaux liquoreux, la sensation qu’on me prend dans ses bras, qu’on enveloppe mes épaules. On l’a goûté sur une salade (melons, huile d’olive, basilic, poivres) où il a fait merveille.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire