Beaune-grèves, Vigne de l’Enfant-Jésus 2013,
Bouchard Père et Fils
Ce qu’il fait là
Parmi les
quelques 130 étiquettes bourguignonnes de la maison Bouchard Père & Fils,
c’est le plus émouvant. Je n’ai pas dit le meilleur ou le plus rare. Et ce
rappel bienvenu aux racines de notre histoire et à celles de la viticulture de
Bourgogne semble très opportun.
Pourquoi je l’aime
Pas seulement
à cause de l’étiquette, mais aussi pour sa constance, sa délicatesse, son
raffinement, sa race qui en font l’un des best-buys des coteaux. Même à ce prix, on
est encore loin des altitudes de certains grands crus à qui il pourrait en
remontrer sans effort. Oui, même dans un millésime plus souple comme 2013.
Avec qui et avec quoi
Avec le meilleur
monde, les chouchous de votre vie, les plus chics de vos amis.
La bonne heure du bonheur
Réglez votre iPhone sur 2020. Rien avant.
Combien et combien
1 200 magnums,
160 euros le magnum
Il ressemble à quoi ?
La subtilité,
vous avez une photo ? Moi non plus. La subtilité est un souffle, presque une
buée. La subtilité, c’est tout ce qu’il faut comprendre sans qu’on vous
l’explique. Un challenge.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Robe délicate, beaucoup de
tendresse en attaque, finesse du fruit, tannin fin et précis, allonge souple et
longue, finale pure. 17/20
Le bug
Je n'en ai pas trouvé.
Ce texte a été publié sous une forme différente dans EN MAGNUM numéro
2 (en vente chez votre marchand de journaux). Il fait partie d'une
série de dix "interviews de magnums".
Dans chaque grande Maison, il y a un "benchmark", un "flagship" bref une étiquette qui est une fierté supplémentaire. Chez Bouchard, sans discussion aucune, c'est l'Enfant Jésus qui a ce rôle et, sagesse de la Maison, son RQP reste correct.
RépondreSupprimerSilence, l'anonyme : vous allez encore aggraver votre cas déjà passablement désastreux !
Venez en nom propre et on pourra causer :-)
"c'est n'importe quoi et puis d'abord 2013..."
RépondreSupprimerAh ?
Déjà vu ?
Ok.
En tout cas, pour moi, pas de "déjà bu".
A votre santé, les amis.
Savourez bien.
Un bordelais qui sait les raffinements dont vous parlez.
Merci de ton passage dans ma rue
SupprimerNicolas, notre Doc Gynéco du vin ;o)
SupprimerOui... c'est vraiment trop facile de tirer sur les anonymes. Meme lache!
RépondreSupprimerOn tire d'abord sur la bêtise de leur commentaires et l'excès de dogmatisme qui les accompagne.
RépondreSupprimerEnsuite sur l'anonyme qui n'ose affirmer sa personnalité… ce qui peut se comprendre vu le style de ses commentaires.
Et quand, en sus, à un moment où il ne faut pas, il oublie les circonflexes…
Bon, restons zen : il y a des choses plus importantes dans la vie :-)
DirPauillac : coucou ! Histoire de te réconforter en Bordeaux : trouve un Pape-Clément 86 et automatiquement, tu prendras quelques centimètres supplémentaires dans ta propre estime des crus bordelais. Si, si : je te l'assure : un monument !
Ne nous crispons pas sur un anonyme qui n'est pas là
SupprimerBien, Président !
SupprimerRendons hommage a` tous ces anonymes qui deblaterent sur le blog du polemiste Nicolas! Sans eux son blog serait moins marrant et Nicolas serait tout seul a` raconter des betises. En fait pas tout a` fait car Mauss est la` pour lui donner une pale replique qui n'est generalement qu'un faible echo. (je laisse Mauss mettre les circonflexes manquants - il aime ca - cedille!). Bonne continuation et bon courage pour le millesime 13.
RépondreSupprimer… à tout le moins un jugement sensé, écrit à de multiples reprises sur mon blog (copieur !) , à savoir que j'ai toujours rêvé de savoir écrire comme Nicolas.
RépondreSupprimerPâle réplique est déjà un compliment : merci !
;-)
RépondreSupprimerMerci Maître : on ne vas pas se laisser teckeliser par n'importe quoi !
RépondreSupprimerTu vas mais on va : tss…
RépondreSupprimer:-)
RépondreSupprimerPS: Et en + on n'est pas paye's!