languedoc-pézenas 2011
Ce qu’il fait là
Sans chercher à forcer la main de quiconque, il est grand temps de se pencher à nouveau sur ce que le Languedoc veut nous dire de plus intéressant. Nous avons commencé dans le dernier numéro de En Magnum, nous continuons ici.
Pourquoi on l’aime
« La majorité des meilleurs domaines languedociens ont été créés par des passionnés venus d’ailleurs réaliser leur idéal du grand vin. » C’est Bettane qui parle de Catherine et Daniel Le Conte des Floris, en rédemption à Pézenas après une vie dans la communication et la politique.
Combien et combien
600 magnums. 48 euros le magnum.
Avec qui, avec quoi
On reconnaît un vin intelligent à sa capacité de s’accommoder de tout, ou presque. Viande et poisson ? Oui.
Il ressemble à quoi
Un bel assemblage syrah, mourvèdre, grenache, c’est racé et c’est complexe. Il passe trois ans et demi au chai avant d’être embouteillé et mis sur le marché. Tout le monde n’est pas aussi exigeant.
La bonne heure du bonheur
Parfait vin de table, à déjeuner ou pour dîner, avec ce qu’il faut de fins palais. Prévoir largement.
Le bug
Ce n’est pas encore en vente partout (mais ça commence)
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
La cuvée change, elle incorpore pour la première fois 50 % de beaux mourvèdres qui lui apportent leur supplément de race et de complexité. Elle est sublimée par des notes de mine de crayon, une des caractéristiques des syrahs sur schistes. 17/20
Ce texte a été publié sous une forme différente dans ENMAGNUM numéro 4 (le numéro 5 est en vente chez votre marchand de journaux à partir de demain). Il fait partie d'une série de dix "interviews de magnums".
Voici ENMAGNUM #05, en kiosque demain :
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