L'un est un grand cru classé, l'autre un petit médoc moins connu.
L'un approche les 40 euros hors taxes, l'autre ne dépasse pas les dix euros. HT, aussi.
Chacun dans sa cour, ils valent un séjour dans votre cave. Vous y attendrez le malartic-lagravière dix ans, peut-être un peu moins. Et vous aurez fini vos larrivaux avant d'attaquer les malartics.
Pour info, Michel Bettane a adoré ce malartic 2017, le plaçant devant ses pairs avec un somptueux 17, 5/20 (pour le rouge). Pour le château Larrivaux, propriété de la famille de Bérangère Tesseron et géré par elle, Michel a ces jolis mots : "Corps assez tendre, bonne maturité de raisin, vin facile". Voilà, moi, ça me donne envie d'en avoir. Pas vous ?
Ces deux vins sont en vente en primeur sur l'excellent site chateauprimeur.com, une structure internet adossée au grand groupe Duclot, ce qui favorise la confiance. |
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