Champagne Palmer, Rosé Réserve
Pourquoi lui
Parce qu’il y a belle lurette que j’ai envie d’en parler et puis voilà l’occasion qui se présente. Il y a des temps et des temps que la coopérative qui produit le champagne Palmer travaille très bien. Tout le monde
le sait.
On l’aime parce que
On l’aime comme on aime le champagne rosé. Dans la très grande diversité de ses goûts, de ses couleurs, de ses dosages. Celui-là est dosé à 8 grammes par litre.
Il est d’une belle couleur assez soutenue.
Il décrit une vraie identité de vin.
Combien et combien ?
5 000 magnums, 75 euros le magnum
Avec qui, avec quoi ?
Au risque de me répéter, ne conviez pas
à la fête les rageux qui croient encore qu’une coopérative ne travaille pas convenablement. Tomber de sa chaise, se voir contraint d’admettre qu’on se trompe, certains ne le supportent pas.
Il ressemble à quoi ?
Il est une belle illustration du beau travail. Tout y est, vieillissement deux fois plus long que l’obligation faite par l’appellation, fort pourcentage de vins de réserve et le vin rouge (du pinot noir, bien sûr) est extrait d’une solera ou réserve perpétuelle. On est dans le très raffiné, là.
La bonne heure du bonheur
Pour moi, c’est une histoire de vin frais, nerveux, fruité. Je le réserve à l’apéritif.
Il fait penser à
La bouteille qui nous manque toujours (la voilà enfin)
Le hashtag
#royaldeluxe
Le bug
Production à peu près confidentielle. Quand les petites structures font très bien, il en manque toujours (voir plus haut)
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Finement framboisé, impeccable de fraîcheur et de souplesse,
remarquablement maîtrisé. 14,5/20
Cet article a été publié dans En Magnum #09 en septembre 2017 et sous une forme différente.
Le numéro 10 vient de paraître, il est en vente chez votre marchand de journaux. Voici à quoi il ressemble :
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