- Château de Moulin-à-Vent, Croix des Vérillats 2009 en magnum. Bien trop jeune, mais quel plaisir de se souvenir soudain que les beaujolais d’en-haut, c’est quelque chose. Plus, ici.
Je retournerai voir ces deux vins dans un an.
- Latour-Martillac, pessac-léognan 04, élégant dans le mince, plus dilué que concentré, plaisant sans enthousiasme, mais sans déplaisir.
- La-Lagune, haut-médoc 01, épaulé, nez très aromatique, un peu brouillon en bouche, tout le monde et moi ravis de boire ça, mais on sait bien que ce n’est pas l’épisode le plus glorieux de ce cru où tout (re)commence à partir du millésime 04.
- Vosne-romanée 97 un vin épouvantable qui a filé tout droit à l’évier, je n’ai même pas eu le temps de noter le nom du producteur.
- Château Saint-Roseline, La Chapelle, côtes-de-provence blanc 11. Un très grand moment, des arômes puissants, une bouche ample, mais précise, un vrai bonheur, une fois de plus.
- Piper-Heidsieck, brut cuvée Essentiel, un nouvel assemblage de notre cher Régis Camus chez Piper, un vin de plus de profondeur que la production classique de la maison.
- Et un cognac Merlet bu avec un dessert (tarte aux fruits rouges, je crois), une tuerie et tout le monde ravi, encore une fois.
Ce soir, c’est une belle bouteille de Roc de Cambes qui m’attend. 2004, je crois.
On en reparle.
Vous avez bien raison de faire de la pub pour les bojos! Ca peut etre vraiment des vins interessants bien que pas toujours facile d'acces. Il y a quelques excellents vignerons sur l'AOC mais les pratiques viticoles et style sont tres varies. Les crus sur granit peuvent etre de tres beaux vins de grande garde.
RépondreSupprimerJe ne fais pas de la pub.
SupprimerCroix des Vérillats 2009 trop jeune en effet, y compris en 75 cl. Boisé encore trop marqué.
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