Domaine de la Chouette du Chai, Rien ne m’effraie, pic-saint-loup 2016
Pourquoi lui
Tout est plutôt sympa, du
nom du domaine à l’histoire de cette néo-vigneronne qui a commencé en 2008, la
modernité de la démarche jusqu’aux étiquettes. En passant par ce joli rouge,
bien identitaire, du bon côté de l’identité, bien sûr.
On l’aime parce que
Chaque jour qui passe impose une nouvelle raison
de se pencher sur ce Languedoc producteur de tant de bonnes surprises. Ce vin,
parmi d’autres, en est une. L’expérience des autres cuvées de la maison nous
enseigne que le potentiel d’un vieillissement harmonieux est là.
Combien et combien
30
euros.
500
magnums.
Avec qui, avec quoi
Les vins de soleil se
boivent frais (15°C), cette chouette que rien n’effraie ne fait pas exception.
On veillera à l’apparier à une gastronomie simple et goûteuse, qu’elle ne soit
pas perdue. Convives en rapport.
Il ressemble à quoi
D’une certaine façon, à ce qu’on aurait rêvé de
boire il y a longtemps, quand ces vins-là n’existaient pas. La puissance qui
remet le facteur sur le vélo et l’équilibre qui enchante l’amateur un peu
éclairé.
La bonne heure du bonheur
Forcément, attendre. Pas des siècles, trois ou
quatre ans.
Le hashtag
#Languedocisback
Le bug
Je cherche encore.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Ceux qui cherchent un exemple d’équilibre en rouge du
Languedoc pourront venir ici vérifier cette notion. À la croisée idéale des
chemins entre densité et juste maturité d’un millésime chaud et enrobé des
tannins.
Cette chronique a été publiée dans EnMagnum #20 sous une forme différente. Le prochain, le numéro 21, le scandaleux paraît-il (un dessin de Régis Franc a déchaîné l'indignation des fâcheuses), est disponible chez votre marchand de journaux depuis trois jours.
Voici la couverture de ce EnMagnum#21 photographiée par Fabrice Leseigneur :
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