Avant-dernière étape de notre petit tour des producteurs et de leur millésime 2011. Après ceux qui exploitent un vignoble dans une ou deux appellations, place à celui qui est partout. Bernard Magrez, le grand visionnaire du Bordelais, l’infatigable collectionneur de châteaux, jamais en retard d’un projet ou d’un perfectionnement ou d’un investissement. La photo ci-dessus, prise à Pape-Clément, son vignoble-phare à Pessac, montre l’égrenage manuel des grappes. Bernard Magrez est le seul à engager deux équipes de cent personnes qui se relaient autour des tapis roulants pendant la durée des vendanges. Pourtant, s'il prend rang parmi les meilleurs, son pape-clément n’est pas, et de beaucoup, le plus cher de sa catégorie.
Nous lui avons demandé de nous dire quelques mots sur son millésime 2011 et ses intentions tarifaires. Nous étions à l’Atelier de Joël Robuchon aux Champs-Élysées, un endroit où Bernard Magrez se sent bien.
Prochain et dernier témoignage : Stéphane Derenoncourt, le consultant.
"...nous on préfère ne pas suivre le mouvement général...et ne pas trop s'en éloigner non plus, d'ailleurs..."
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