Par ce temps trop chaud pour la saison, les apéros désaltérants tombent bien. Un truc que j’ai essayé, c'est très bon, un crémant de Loire et quelques gouttes de campari au fond du verre. Le sucre du campari fait bon ménage avec l’austérité tranchante du chenin à bulles. Et l’amertume du campari trouve son pendant dans le crémant. Une recette déjà essayée avec des champagnes non-dosés, ça marche très bien aussi, en version plus iconoclaste, les grands amateurs de champagne sont scandalisés, c’est très bon quand même. La version de pauvre avec ce langlois-château même pas millésimé, mais non-dosé aussi, a l’avantage d’une certaine raideur qui le rend encore plus désaltérant. Et là, personne ne criera au scandale. Déjà, c’est énorme.
La photo : Langlois 0-125, crémant de Loire de Langlois-Château. Zéro pour zéro dosage (pas de sucre ajouté) et 125, c'est l'âge de la maison.
oh oui !
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