Attention, là, on entre dans le gore le plus éprouvant. Regardez comment un type, par ailleurs sympathique et bien considéré par sa belle-mère, vient à bout d’un homard qui n’avait fait de mal à personne. Quand les choses se passent comme ça dans les belles maisons, imaginez le secret des abattoirs. Ça fait peur aux enfants.
Tout ça pour tenir la main à un clos-de-tart 90…
Âmes sensibles s’abstenir, bien sûr.
Ah , c'est affreux !...
RépondreSupprimerJ'ai déjà du mal à supporter la langouste qui pleure quand on l'ébouillante ...
@Pinsondesarbres ;)
J'ai testé la même chose le 23 décembre avec un Touraine blanc du domaine des Pierrettes, la minéralité de leur sauvignon blanc allait parfaitement avec la bestiole qui là non plus ne s'est pas trop défendue.
RépondreSupprimerEn ce qui me concerne je vous conseille un Leon Barral blanc. Bonne dégustation.
RépondreSupprimerJLB la deuxième tour
Avec un Omar c'est visiblement un Cluzet qu'on éponge pour beaucoup de nos cons patriotes. (J'aime pas ce que tout le monde aime, principe adolescent).
RépondreSupprimerAssassin !
RépondreSupprimerNous avions un vin chic : Auxey-Duresses d'Auvenay Boutonniers 2004, fort bon, d'une rare puissance.
RépondreSupprimer@Georges : Omar-Buzet !!
RépondreSupprimerPhil le Phil, je dois expliquer un truc à Georges, pardonnez cet aparté.
RépondreSupprimer@Georges : haut-marbuzet est un très bon saint-estephe, c'est pour ça.
Un stéphanois sur un breton ?? Phil est trop calé pour être honnête
RépondreSupprimerPhil! Elle est chouette celle ci.
RépondreSupprimerNicolas: merci ;)
Pour répondre à votre question, avez-vous jamais tenté un Sauternes ou un Barsac d'un millésime amorti ?(+ou-5ans)
RépondreSupprimerEn fait, je tente le sauternes et le barsac en toutes circonstances. Mais encore jamais avec le homard. En revanche, sur les huîtres, mmmhhh, très bon. Une étude approfondie de ce blog (que je vous recommande) vous montrera que je suis un grand fan des liquoreux de toutes provenances et un grand défenseur des sauternes et des barsacs.
RépondreSupprimerEn hommage aux quatre homards et tant de leurs congénères sacrifiés sur l'autel indigne d'un tanin asséché, d'une acidité mordante, d'un fruité régressif
RépondreSupprimerC'est bien parce que je connais votre attachement aux liquoreux que par-delà le genre je répondais à votre question par une question qui aurait pu en ces circonstances festives trouver une illustration adéquate a posteriori
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