Ces ravissantes petites horreurs s’appellent des macarons glacés. C’est comme un macaron, mais avec une crème glacée à la vanille (en haut) ou un sorbet framboise (en bas). La maison Labeyrie, qui a commis ce feu d’artifices de couleurs… artificielles, sort d’un coup d’un seul une mini-gamme de quatre macarons plus flashy les uns que les autres. Je n’y ai pas encore goûté, mais c’est le genre de junk-food revisitée que j’essaie volontiers, histoire de voir de quoi les foodistas les plus sottes se nourrissent, c’est instructif. Mais une fois, pour voir. Et avec ça, il n’y a guère que l’eau qui puisse s'en arranger. Ou, pour les amateurs les plus exigeants, une jolie bouteille de tokaji azsu, 4 ou 5 puttonyos, voire moins, je ne crois pas qu’il soit nécessaire de sortir les grands tokajis.
C’était ma contribution du lundi. Promis, je ne vous montrerai plus des trucs pareils.
Et ce truc, en bas, ça a surement un nom pas possible. Et dire que j'attends les crêpes prévues le 2 du mois qui arrive.
RépondreSupprimerLes plaisirs démodés, c'est ça.
La prochaine fois, préviens, je viens en persol :)
Je connais déjà la photo et vive les plaisirs démodés, ça écarte le troupeau
SupprimerNicolas,
RépondreSupprimerJe ne savais pas que le terme foodista ne s'applique qu'à des sottes...
Tu avais ta casquette de macho ce jour-là?
Par contre pour l'eau, je la choisirais plutôt gazeuse.
;-) Sans rancune mais si tu veux garder la cote... il faut pas dire des trucs pareils.
Suzanne
Suzanne, pas sûr de comprendre ce que tu dis.
SupprimerMoi, je ne dis pas que le terme "foodista" ne s'applique qu'à des sottes. J'en connais même de très brillantes. Mais pas toutes.
Pour la cote, pareil, je ne comprends pas ce qu'il faut garder et auprès de qui.
Enfin, pour le macho, je peux produire des témoignages du contraire, et beaucoup.
Où déposer des témoignages puissamment anonymes ? J'ai du stock !
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerC'est vrai que c'est flashy... et quand on y regarde de près, personnellement je n'ai pas très envie d'y gouter ( alors qu'un VRAI macaron hummmmmm ).
Erynn
Quand un designer culinaire planche sur ses prochaines créas en regardant Damidot...
RépondreSupprimerClaire
@Erynn@Claire : c'est vrai que c'est très junk-food, en même temps, c'est drôle une fois ou deux dans une vie
RépondreSupprimerLet 'em b
RépondreSupprimerOlivier:
RépondreSupprimerouais c'est pas nouveau cette idée c'est un truc d' Hermé à la base aussi flashy et bien meilleur...
Bah pour rester dans le ton plutôt une petite bouteille de Pop direct au goulot en faisant des rototos assumés non?
Pour le drôle,la pancarte de solde d'un magasin de costards:
"Y a pas besoin d'attendre les élections pour se prendre une veste"
Ca fout un coup de vieux cet assortiment de machins; que font les agences de com. aujourd'hui, mis à part se consacrer à préserver des emplois de service (ce qui n'est pas rien) ?
RépondreSupprimerCe n'est pas rien, en effet. Mettons qu'on sente comme une sorte de lassitude chez des conseillers qui ne conseillent plus trop…
SupprimerLes cohortes de consacrés s'emploient pourtant chaque année, tant bien que mal, à perpétuer la chandeleur; des animaux à sang froid, sans doute
RépondreSupprimerL'industriel moyen aime beaucoup les fêtes rituelles à vocation consommatoire
RépondreSupprimerLe berger à la bergère, c'est une pieuse réponse qui se tient en tout
RépondreSupprimerMerci d'acquiescer
SupprimerEt demain, on rase gratis pour le compte de qui le méritera ...?
RépondreSupprimer?
SupprimerUn adage hors de propos; mais je suis sûr qu'on peut en piocher un convenable dans les extraits (gratuitement) mis en lien, genre: un prêté pour un rendu.
RépondreSupprimerPas chouette la liseuse; l'appel d'offre des Belles Lettres pour vanter sa livrée des Adages d'Erasme semble obsolette
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