Le blog de Nicolas de Rouyn
Bonjour.
Ceci est un blog dédié au vin et au monde du vin, qu'on appelle aussi le mondovino. Et à tout ce qui entoure le vin, les belles tables,
les beaux voyages, les tapes dans le dos et les oreilles tirées. Cela posé, ce qu'on y lit est toujours de-bon-goût-jamais-vulgaire,
ce qui peut plaire à votre mère. Dites-le lui. (Only dead fish swims in ze stream).
Les photos sont signées Mathieu Garçon, sauf mention. Pour qu'elles soient belles en grand, il suffit de cliquer dessus.
Au fait, il paraît que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération".
Nicolas de Rouyn
Ceci est un blog dédié au vin et au monde du vin, qu'on appelle aussi le mondovino. Et à tout ce qui entoure le vin, les belles tables,
les beaux voyages, les tapes dans le dos et les oreilles tirées. Cela posé, ce qu'on y lit est toujours de-bon-goût-jamais-vulgaire,
ce qui peut plaire à votre mère. Dites-le lui. (Only dead fish swims in ze stream).
Les photos sont signées Mathieu Garçon, sauf mention. Pour qu'elles soient belles en grand, il suffit de cliquer dessus.
Au fait, il paraît que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération".
Nicolas de Rouyn
mardi 28 février 2012
Michelin, deux étoiles pour Philippe Jamesse ?
Les aventures du Guide Michelin ne m’intéressent pas beaucoup. De loin en loin, je reconnais un cuisinier distingué par l'institution, mais pas plus. Ainsi de Philippe Mille, au Crayères à Reims. Il décroche une deuxième étoile. Je pense qu’elle est largement méritée, il a sorti l’admirable maison de l’impasse dans laquelle l’avait mené le précédent cuistot, jamais en phase avec sa clientèle ou avec le champagne. Souvenons-nous toujours qu’un cuisinier n’est jamais seul. Aux Crayères, moins qu’ailleurs. Il y a un propriétaire (Thierry Gardinier), un patron (Hervé Fort) et un sommelier. Là, il a bénéficié de la complicité intelligente de Philippe Jamesse, le sommelier, très éminent spécialiste du champagne. Compétent au point d’avoir créé une ligne de verres magnifique. Ce sont ses verres sur la photo, prise lors d’un déjeuner de présentation du dernier millésime de La Grande dame de Veuve-Clicquot, à l’hôtel du Marc finalement restauré. Un grand moment où l’on avait aussi découvert un vin hors-commerce, un côteaux-champenois (rouge tranquille) assemblage épatant de trois ou quatre millésimes du début des années 80. Un rouge de rêve. Merci Dominique Demarville de m’avoir fait ce plaisir-là.
Cette ligne de trois ou quatre verres d'une beauté et d’une légèreté inhabituelles donne toutes leurs chances à tous les champagnes, selon leur âge, leur assemblage, leurs caractéristiques. Pour faire bonne mesure, Philippe Jamesse a voulu des verres pas chers. À douze euros pièce, c’est réussi. Et Veuve-Clicquot n’est pas la seule maison de Champagne à avoir adopté les « Jamesse ». Charles Heidsieck avait ouvert le bal.
Pour savoir où trouver les verres de Jamesse, appelez les Crayères au 03 26 24 90 00 ou faites un tour sur le site.
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J'aime la manière dont vous ramenez les choses en les renvoyant à leurs réalités et en les reliant ensemble. Avec toujours cette sensation de vécu avec un regard laser.
RépondreSupprimerMerci de ce commentaire, mais je ne suis npas sûr du "regard laser". Surtout ce matin ;-)
Supprimer… et sans oublier qu'à l'intérieur du Parc, il y a une brasserie particulièrement jouissive ! De la bel ouvrage. J'y ai fait un déj tip top !
RépondreSupprimerMoi aussi et pas plus tard que jeudi dernier !
SupprimerElle est chouette votre vie!
SupprimerC'est malin, maintenant en plus d'avoir soif (merci Nicolas), j'ai faim (merci François)... Ce blog est redoutable!
Elle est chouette, mais c'est aussi un travail ;-)
SupprimerMerci du merci