Et voici un nouvel épisode de nos télé-aventures chinoises. Aujourd’hui, « Qu’il est beau, mon château ». Non, ce n’est pas un énième avatar de DisneyWorld. C’est la culture du vin telle qu’elle comprise en Chine. Des châteaux gigantesques à côte desquels même Versailles fait un peu pavillon de banlieue.
Une démesure toute statutaire destinée à faire comprendre au passant à qui il a affaire.
Ce qui marche aussi avec le paysan, la méthode vient de loin. Partout, tout le temps, il a été question d’impressionner le manant. C’est vrai des temples grecs, des châteaux-forts, des cathédrales. Et c’est vrai de ces châteaux chinois, bien sûr.
Qu’ils le sachent, nous sommes très impressionnés. Bon, on ricane un peu, mais c’est de dépit, sûrement. Aura-t-on encore envie d’aller visiter Château Lafite, cette masure, ou le microscopique Château Margaux ?
Extraordinaire paysage qui fait penser aux contreforts de la Cordillère des Andes, vers Mendoza.
Comme quoi, l'inspiration vient de partout. L'usine en bas, c'est la winery Jiu Zhai Gou.
Le château Han-Sen et son miroir d'eau. C'est beau, non ?
Cette drôle de gare de province, c'est le Château Bacchus
Demain, la suite.
Les photos m'ont gentiment été transmises par l'un de mes nouveaux amis chinois rencontré à Dijon. Il s'appelle Deng Zhong Xiang et il est étudiant à l'Institut Jules Guyot à l'Université de Bourgogne où il prépare un diplôme national d'œnologie. Pour voir les photos en grand, cliquez dessus.
Dijon, c'est un vivier. Le premier a ma préférence, romantique. -Georges
RépondreSupprimerRomantique, oui, mais gigantesque quand même.
SupprimerJ'aime bien quand tu passes sous mes fenêtres
romantique et gigantesque c'est pas incompatible! En tout cas, ça fait un peu carton pâte. ça doit sonner creux tout ça. Mais c'est drôle !
SupprimerEn fait, le romantique, c'est les feuilles mortes, pas la centrale électrique première manière qui fait office de château
Supprimerje voudrais réagir mais je ne sais même pas par ou commencer.
RépondreSupprimerDonc je commence par la fin, comme ça j'ai déjà fini.
Claire
J'adôôôôre la gare de Province
RépondreSupprimerMathilde