Le blog de Nicolas de Rouyn

Bonjour.
Ceci est un blog dédié au vin et au monde du vin, qu'on appelle aussi le mondovino. Et à tout ce qui entoure le vin, les belles tables,
les beaux voyages, les tapes dans le dos et les oreilles tirées.
Cela posé, ce qu'on y lit est toujours de-bon-goût-jamais-vulgaire,
ce qui peut plaire à votre mère. Dites-le lui.
(Only dead fish swims in ze stream).
Les photos sont signées Mathieu Garçon, sauf mention. Pour qu'elles soient belles en grand, il suffit de cliquer dessus.
Au fait, il paraît que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération".
Nicolas de Rouyn



lundi 18 novembre 2013

Nouveau. L’étiquette de mouton 2011

En voilà du « breaking news ». Un lundi ordinaire dans une France « apaisée », des fusillades dans tous les coins, prise d’otages, déclarations solennelles de partout, un gars sur le carreau, grèves, manifs et paf, c'est Mouton-Rothschild qui informe le monde haletant de curiosité de sa nouvelle étiquette pour le millésime 2011.



Là, deux attitudes. L’investigation ou le copié-collé.
J'hésite. Mais pas longtemps.
Donc, voilà ce qu’en dit le blog d’iDealwine : « Le visuel du millésime 2011 a été confié par la baronne Philippine de Rothschild au peintre et sculpteur Guy de Rougemont.
Peintre, sculpteur français, Guy de Rougemont a toujours cherché à abolir la frontière entre les deux disciplines. Ses œuvres monumentales sont implantées sur de nombreux sites publics : places, parvis, rues, autoroutes… Épris de couleurs vives et chaudes, qu’il inscrit d’abord dans des figures géométriques régulières, il se tourne ensuite vers la « ligne serpentine », dont les sinuosités soulignent ou tempèrent les contrastes d’ombre et de lumière. Son dessin pour le millésime 2011 de Château Mouton Rothschild, s’inscrit dans la droite lignée de cette « ligne serpentine » : de l’or au rouge sombre, de la clarté des vignes ensoleillées à l’obscurité des caves, Rougemont nous fait parcourir en couleurs toutes les étapes de la naissance d’un grand vin. »
Super, non ?
En même temps, quand on regarde l'œuvre, on se demande si c'est pas un fake. Mais bon, je ne suis pas critique d'art contemporain, hein.

Plus d’info, ici 

 

2 commentaires:

  1. tout un art de s'inscrire dans la droite lignée de la ligne serpentine...

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  2. Il parait qu'il y a des fausses etiquettes maintenant... Trop drole!

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