Le blog de Nicolas de Rouyn

Bonjour.
Ceci est un blog dédié au vin et au monde du vin, qu'on appelle aussi le mondovino. Et à tout ce qui entoure le vin, les belles tables,
les beaux voyages, les tapes dans le dos et les oreilles tirées.
Cela posé, ce qu'on y lit est toujours de-bon-goût-jamais-vulgaire,
ce qui peut plaire à votre mère. Dites-le lui.
(Only dead fish swims in ze stream).
Les photos sont signées Mathieu Garçon, sauf mention. Pour qu'elles soient belles en grand, il suffit de cliquer dessus.
Au fait, il paraît que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération".
Nicolas de Rouyn



lundi 23 mars 2020

Mes magnums (119)
C'est possible de lancer une nouvelle marque de champagne ? Oui, c'est possible

Frèrejean Frères, brut premier cru, champagne NM



Pourquoi lui 
J’adore l’histoire des marchands de canons Frèrejean Frères qui vendaient leur production à Napoléon III, puis à Clémenceau. À l’époque, l’usine était rue de Réaumur, à Paris. La fratrie du moment est plus champenoise, installée à Avize depuis 2005.

On l’aime parce que 
Ces trois jeunes frères Frèrejean sont issus d’une branche de la famille Taittinger et voilà qu’ils nous présentent des champagnes de finesse, d’élégance et de ciselure, plutôt marqués chardonnay.

Combien et combien 
90 euros. 1 800 magnums.

Avec qui, avec quoi 
Avec tous ceux qui aiment les histoires incroyables-mais-vraies et les jeunes entrepreneurs avec du talent dedans.

Il ressemble à quoi 
Ce sont de grands vins d’apéritif. En tenir compte.

La bonne heure du bonheur 
La gamme est assez large pour un début (quinze ans, en Champagne, c’est un début) et celui que nous vous montrons ici n’a besoin de rien. Bien sûr, cinq ou dix ans de cave ne lui fera que du bien, mais ce n’est pas indispensable.

Le hashtag 
#thenewcomer

Le bug 
Il y aura forcément quelques tristes figures pour s’émouvoir de cette histoire de canons.

Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve 
Élancé, frais et offrant de belles notes d’agrumes et fleurs, un beau champagne d’apéritif et de début de repas. 15/20



Cette chronique a été publiée dans EnMagnum sous une forme différente.
Le numéro 18, s'il en reste, est en vente chez votre marchand de journaux
jusqu’à la fin de la semaine. Voilà la couverture du numéro 19, une ode à Bordeaux dans sa reconquête. On attendra un peu pour le trouver en kiosque. Pour l'instant et compte tenu des circonstances, l'imprimeur ne livre pas.



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