Le blog de Nicolas de Rouyn

Bonjour.
Ceci est un blog dédié au vin et au monde du vin, qu'on appelle aussi le mondovino. Et à tout ce qui entoure le vin, les belles tables,
les beaux voyages, les tapes dans le dos et les oreilles tirées.
Cela posé, ce qu'on y lit est toujours de-bon-goût-jamais-vulgaire,
ce qui peut plaire à votre mère. Dites-le lui.
(Only dead fish swims in ze stream).
Les photos sont signées Mathieu Garçon, sauf mention. Pour qu'elles soient belles en grand, il suffit de cliquer dessus.
Au fait, il paraît que "l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération".
Nicolas de Rouyn



lundi 21 août 2017

Mes vins de l'été (point d'étape)

Belle tombée de vins étrangers, cet été. Il en est venu de partout ou presque. Commençons par le commencement, c’est-à-dire l’Italie.

Italie.

Très joli barbera de Sottimano partagé avec bonheur
et avec une grande journaliste/écrivain gastronomique
chez Vantre, la bonne adresse de Marco Pelletier à la République.

Brunelli fait du brunello et il le fait très bien.
Ce brunello-di-montalcino s’inscrit parmi les meilleurs des grands italiens.
Il n’a pas déçu, fait mille promesses. Mais trop jeune, à la fin.

Entre quelques bouteilles de barolo du même producteur (Alessandria),
ce dolcetto très suave qui mérite vraiment qu'on l'attende (J’adore la nappe).

Le fantastique granato d'Elisabetta Foradori.
Le cépage est le teroldego et tout ceci nous arrive en magnum du Haut-Adige,
l'extrême nord de l'Italie. C'est un vin rouge, millésime 2006.


Autriche.

L'été des vins épatants, chapitre 5 962 :
un zweigelt (c'est le cépage) autrichien. On en fait aussi en Italie dans le Trentin Haut-Adige
et c'est toujours très bon pour ce que je sais des vins de Lageder ou de Hofstatter.

Liban.


L'une des cuvées de Kefraya, grand vignoble de la Bekaa au Liban.
Un vin facile, équilibré et flatteur, sans exagération dans aucun registre.
Content de l'avoir vue, cette bouteille. Trop petit, le 75 cl.

Chine.


L'étiquette d'une merveilleuse élégance, c'est Ao Yun,
le vin en progrès de Moët-Hennessy qui nous arrive des confins montagneux de la Chine.
Déjà un succès pour cette aventure viticole incroyable
(toute l'histoire dans En Magnum #08 en vente chez votre marchand de journaux).

Portugal. 

Un rouge sec portugais facile et sympa, on en boit jamais assez des comme ça.
Merci à Daniel Pirès, le sommelier de la Scène Thélème à Paris, qui me l'a fait découvrir.

Dans une brasserie qui va bien de l'avenue Gambetta, ce douro rouge (sec) parfaitement à sa place.
No surprise, Ramos Pinto fait partie des domaines supervisés par Jean-Baptiste Lécaillon (Roederer, etc.). Donc, c'est bon d'avance et c'est bon aussi pendant. Et à un prix serré.

USA, Californie.


Un déjeuner de champagne chez Albert Corre (Le Petit Pérgolèse),
mais avec un très grand rouge sur la viande, opus-one 2010, sacré jus.
Évidemment, c'est plus chic comme ça. Bravo et merci à Damien Champy
et à l'équipe champenoise de la petite coopérative Le Brun de Neuville.

Australie.

Un cabernet-sauvignon pas mal, pas trop extrait, l'Australie.
Bu à table dans un petit restaurant de la Spey, en Écosse.


USA, Oregon.


Chez Il Vino.
Regoûté avec gourmandise le pinot noir d'Oregon de Jean-Nicolas Méo.
Une très belle interprétation du terroir et du cépage.





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