Hecht & Bannier, bandol 2013
Pourquoi lui
Nous savons bien que les grands négociants du Rhône sont d’excellents vinificateurs et assembleurs. Gregory Hecht et François Bannier ne font pas exception à cette règle déjà ancienne et rejoignent sur les podiums les Michel Tardieu, François Dauvergne, Jean-François Ranvier, Antoon Jeantet-Laurent et quelques autres sorciers, dont ceux des grandes maisons (Jaboulet, Guigal, Delas et consorts), évidemment.
On l’aime parce que
On aime le bandol, bien sûr. On en connaît plein, le site est sublime, on y va autant qu’on peut, le soleil, tout ça. Le mourvèdre, ce cépage des bords de Méditerranée, fait les vins qu’on apprécie, un mélange de structure et d’épices chauds.
Combien et combien
55 euros. 600 magnums.
Avec qui, avec quoi
Le bandol, on l’aime un peu sauvage. On veut que l’âge lui rende la raison, la finesse, le sens du subtil et de l’équilibre. On veut tout savoir de sa personnalité. Du coup, le partager avec des convives choisis.
Il ressemble à quoi
Une fois de plus, à l’un de ces vins qui méritent un peu de patience.
La bonne heure du bonheur
À table et nulle part ailleurs. Pour être de Provence et de soleil, il n’en est pas moins complexe.
Le hashtag
#herecomesthesun
Le bug
Pas si facile à trouver
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Svelte et fin, avec une vraie personnalité aromatique, de la pureté et du fond. 16/20
Cette chronique a été publiée dans EnMagnum #14 sous une forme différente.
Le numéro 15 est
en vente chez votre marchand de journaux depuis le 29 mars.
Voilà
la couverture de ce numéro 15, consacré pour partie à Bordeaux, mais pas que.
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