jeudi 24 décembre 2020

Mes magnums (132) Un Noël rose, bien sûr

 

Thiénot, Brut rosé, champagne


 

Pourquoi lui

L’entreprenante famille Thiénot a ses racines en Champagne et ses ailes ailleurs, jusqu’à Bordeaux et en Australie. Elle fait bien avec une vraie tendance à transformer tout ce qu’elle touche en réussite. Elle a toute sa place dans nos pages.

 

On l’aime parce que

Ce champagne rosé avec ses arômes de fruits rouges marqués est capable de charmer tout ceux (celles et ceux, hein) qui vous entourent. Déjà, c’est fort. C’est un rosé all-road qu’on aurait peine à prendre en défaut.

 

Combien et combien

90 euros.

5 000 magnums.

 

Avec qui, avec quoi

De l’apéritif jusqu’au hoamrd de l’entrée et on y reviendra au dessert si c’est une pavlova ou une soupe de fraises à l’aneth (à la saison des fraises).

 

Il ressemble à quoi

Il est tout ce que l’amateur de champagne rosé cherche. Cet équilibre épatant entre la bulle et les saveurs de framboise, de fraise, de cassis (en vieillissant)

 

La bonne heure du bonheur

Toujours laisser un an ou deux à un magnum de champagne, histoire qu’il se remette des fatigues qui l’ont mené jusqu’à vous. En plus, évidemment, il vieillit tellement bien en magnum, c'est mieux.

 

Le hashtag

#PinkChampagneNoIce

 

Le bug

Pour une jauge de six convives, c’est court un magnum. Prévoyez large.

 

Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve

Robe pâle, fins arômes de fruits rouges et en particulier de fraise des bois, allonge tendre et délicate, très gourmand.



Cette chronique a été publiée dans EnMagnum#20 sous une forme différente. Le prochain, le numéro 21, le scandaleux paraît-il (un dessin de Régis Franc a déclenché une certaine agitation sur les réseaux sociaux), est disponible chez votre marchand de journaux. 

Voici la couverture de ce EnMagnum#21 photographiée par Fabrice Leseigneur :

 

 


 

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