J. de Telmont, Grand Rosé, champagne
Pourquoi lui
Saluons le retour aux affaires de cette marque créée en 1911 et qui avait tendance à se disperser légèrement. La quatrième génération a pris le volant, tout rentre dans l’ordre et, d’abord, les vins. La viticulture aussi, qui s’oriente vers la biodynamie, pas si simple en Champagne.
On l’aime parce que
Point un : un grand champagne rosé est toujours une bonne nouvelle.
Point deux : une petite maison qui sort de l’ombre en travaillant son propre domaine en est une autre (bonne nouvelle).
Combien et combien
70 euros.
1 500 magnums.
Avec qui, avec quoi
Un jour lumineux, pour regarder la couleur du vin dans le soleil. Ce vin, c’est de l’été en bouteille. À boire l’hiver, donc.
Il ressemble à quoi
Un vin qui va avec tout, en toutes circonstances. Moi, je le préfère à l’apéritif ou avec des fruits rouges, ah ce n’est pas la saison, ça va venir.
La bonne heure du bonheur
Aucune raison d’attendre, même si trois ou quatre ans de cave de plus ne lui feront aucun mal, au contraire.
Le hashtag
#pinkchampagnelover
Le bug
Manque de notoriété. Manque d’image. Pour l’instant.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Rond et souple, fruit agréable, facile à boire dans un usage universel.
Cette chronique a été publiée, sous une forme différente, dans EnMagnum#18. Aujourd’hui, EnMagnum#19 n’est pas en vente chez votre marchand de journaux, défaut de livraison pour cause d’époque perturbée oblige. En revanche, ce numéro 19 est en accès libre sur internet via le site enmagnum.com. Allez-y, on ne vous demande rien puisque c’est gratuit. C’est la technologie du flipbook, éprouvée et confortable, on peut agrandir textes et photos comme on veut, c’est parfait.
Voilà à quoi il ressemble :
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