Frèrejean Frères, brut premier cru, champagne NM
Pourquoi lui
J’adore l’histoire des marchands de canons Frèrejean Frères qui vendaient leur production à Napoléon III, puis à Clémenceau. À l’époque, l’usine était rue de Réaumur, à Paris. La fratrie du moment est plus champenoise, installée à Avize depuis 2005.
On l’aime parce que
Ces trois jeunes frères Frèrejean sont issus d’une branche de la famille Taittinger et voilà qu’ils nous présentent des champagnes de finesse, d’élégance et de ciselure, plutôt marqués chardonnay.
Combien et combien
90 euros.
1 800 magnums.
Avec qui, avec quoi
Avec tous ceux qui aiment les histoires incroyables-mais-vraies et les jeunes entrepreneurs avec du talent dedans.
Il ressemble à quoi
Ce sont de grands vins d’apéritif. En tenir compte.
La bonne heure du bonheur
La gamme est assez large pour un début (quinze ans, en Champagne, c’est un début) et celui que nous vous montrons ici n’a besoin de rien. Bien sûr, cinq ou dix ans de cave ne lui fera que du bien, mais ce n’est pas indispensable.
Le hashtag
#thenewcomer
Le bug
Il y aura forcément quelques tristes figures pour s’émouvoir de cette histoire de canons.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Élancé, frais et offrant de belles notes d’agrumes et fleurs, un beau champagne d’apéritif et de début de repas.
15/20
Cette chronique a été publiée dans EnMagnum sous une forme différente.
Le numéro 18, s'il en reste, est
en vente chez votre marchand de journaux jusqu’à la fin de la semaine. Voilà
la couverture du numéro 19, une ode à Bordeaux dans sa reconquête. On attendra un peu pour le trouver en kiosque. Pour l'instant et compte tenu des circonstances, l'imprimeur ne livre pas.
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