mardi 18 février 2020

Mes magnums (116) Un châteauneuf-du-pape
d'une délicatesse folle

Domaine de la Solitude, Le Vin de la Solitude, châteauneuf-du-pape 2017 



Pourquoi lui 
Le nom, la Solitude, ne justifie pas tout. Quoique. L’histoire familiale qui remonte au Moyen-Âge et à une famille toscane qui donna un pape à Avignon, non plus. Non, c’est le vin, l’important.

On l’aime parce que 
La finesse à Châteauneuf-du-Pape est une qualité. Nouvelle ? Relativement. Il fait partie des vins qu’on a envie de boire ces jours-ci. Goûtez-le.

Combien et combien 
96 euros. 150 magnums.

Avec qui, avec quoi 
Avec ceux de votre entourage que vous estimez capable d’envisager un châteauneuf avec d’autres yeux que ceux de l’amateur de gibier, classique et fatigant. 

Il ressemble à quoi 
Dentelle et délicatesse, ça vous dit quelque chose ? oui ? Alors, voilà le vin qui va vous transporter vers d’autres horizons. Le Rhône sud, c’est aussi ça.

La bonne heure du bonheur 
Cinq ans d’attente minimum. Minimum. Les vrais amateurs compteront sept à huit ans. Êtes-vous un vrai amateur ?

Le hashtag 
#areyoulonesometonight

Le bug 
Le commun des mortels pourrait confondre ce vin avec un châteauneuf ordinaire. C’est une erreur.

Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve 
Bouquet original et fin. Bouche en dentelle, résultat des 80 jours de macération. Délicatesse évidente qui réconcilie n’importe quel amateur de vins fins avec l’appellation. 17/20



Cette chronique a été publiée dans EnMagnum sous une forme différente.
Le numéro 18 est en vente chez votre marchand de journaux
jusqu'en mars.
Voilà la couverture de ce numéro 18, une vision
inattendue de la saison.



 

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