Château Fourcas-Hosten, Le Blanc de Fourcas-Hosten, bordeaux blanc 2017
Pourquoi lui
Fourcas-Hosten, c’est une renaissance dans une appellation moins célèbre que d’autres dans le Médoc. Pourtant, les frères Momméja n’ont rien ménagé pour en faire la pépite montante du quartier. Caroline Artaud, la directrice de l’endroit, n’est pas pour rien dans cette parfaite ascension.
On l’aime parce que
Les vignes ont été plantées sur deux hectares vierges de toute agriculture et menées en bio depuis le premier moment. Le vin est très plaisant, il évolue à chaque millésime avec l’arrivée en production de nouvelles jeunes vignes. On attend impatiemment les nouveaux sémillons dans les années à venir. C’est passionnant de regarder grandir un enfant.
Combien et combien
50 euros.
271 magnums.
Avec qui, avec quoi
Avec des curieux, des vrais, des découvreurs, des attendris.
Il ressemble à quoi
Sauvignon blanc et sauvignon gris, avec un rien de sémillon, c’est déjà très beau
La bonne heure du bonheur
Pour la garde, on verra ça plus tard. Il a un côté irrésistible qui peut lui être fatal.
Le hashtag
#risingstar
Le bug
Toute petite production.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Pimpant, avec une pointe de gaz carbonique qui participe à sa fraîcheur, c’est un blanc capable d’aller de l’apéritif à la table. Sa pointe saline lui permettra également de jouer avec les fruits de mer.
Cette chronique a été publiée dans EnMagnum #16 sous une forme différente.
Le numéro 17 est
en vente chez votre marchand de journaux.
Voilà
la couverture de ce numéro 17, consacrée à la rentrée, quelle surprise.
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