Nicolas Feuillatte, cuvée Palmes d’or, champagne brut 1999
Pourquoi lui
La cuvée de prestige de la plus grande réunion de coopératives de France est forcément un passage intéressant. Surtout dans ce millésime.
On l’aime parce que
Parce que l’âge est passionnant et la fraîcheur de cet âge est surprenante. Parce que le chef de caves a tous les moyens de choisir le meilleur pour cette cuvée, coopérative oblige. Comprendre que le principe d’une grande coopérative est de multiplier le nombre de coopérateurs et donc de terroirs différents.
Combien et combien
Quantité non communiquée, 150 euros le magnum
Avec qui, avec quoi
Bien sûr, à l’apéritif avec le palais vierge encore de toute saveur et, dans le même mouvement, on passera à table avec un vrai grand vin.
Il ressemble à quoi
Pile à l’idée qu’on peut s’en faire, pourvu qu’on ait déjà goûté ces champagnes de vingt ans. Un riche mélange de miels et de sous-bois, une longueur saline, des trésors de saveurs qui s’entremêlent.
La bonne heure du bonheur
Bien sûr, il en a encore sous le pied. Cela dit, ne vous privez surtout pas de faire sauter ce bouchon dès maintenant, c’est très bon.
Le hashtag
#coopfirst
Le bug
Une cuvée qui n’a pas l’image qui correspond à ses performances.
Ce qu’en dit le Bettane+Desseauve
Dense et intense, encore marquée par une amertume qui s’épanouira avec le temps, c’est un champagne consistant et profond. 15,5/20
Cette chronique a été publiée dans EnMagnum #13 sous une forme différente.
Le numéro 14 est
en vente chez votre marchand de journaux.
Voilà
la couverture de ce fameux numéro. Strass et diamants, c'est très EnMagnum ? Pour une fois, oui.
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