dimanche 17 janvier 2016

Buveur d’étiquettes




Sur le podium des champagnes croisés ces jours-ci. Très bon, très fin, très classieux. En plus, la parcelle s’appelle La Croisette, hein. Faut-il le boire avant un La-Rochelle du Château du Moulin-à-Vent ?



Sottement ouvert deux ans trop tôt. Au moins. Une parcelle plantée il y a plus d'un siècle et demi. Franc de pied, donc. Romorantin, c’est le cépage. Pucelle ? Je ne sais pas. C’est Thierry Desseauve qui a trouvé le nom m’a raconté Henry Marionnet. Qu’en conclure ? ;-)



Ce Brim’ extra-brut est dosé à deux grammes/litre. C’est très bon, comme toujours.
(i had a brim, mais là, il est vide) (private joke).



En magnum. Il s’appelle Mosaïque parce qu’il est le résultat d’un assemblage bien fait d’une multitude de parcelles. Un rosé très aromatique bien composé issu de la coopération.



Ce clos-liebenberg est un effervescent d'une grande élégance et finesse issu de raisins cultivés en bio-dynamie par une famille présente sur les coteaux d’Orschwihr depuis des générations. Ma deuxième bouteille, une deuxième merveille. Il faut aussi que je vous raconte un magnum de pinot noir par le même Zusslin. Une autre fois.



En magnum. Il vient des vignes du domaine Faiveley, grande maison de négoce nuitonne. Très grande bouteille dans un grand millésime (2002), belle émotion.



À quoi reconnaît-on un grand vin ? Entre autres, au fait qu’il est meilleur le lendemain. C’était le cas de cette cuvée dite de prestige issue de la coopération. Esprit couture ? Sûrement  :-)



Beau doisy-daëne offert par une amie chère dans un millésime qu’on voit rarement passer. Très bon moment. Bue sur quatre ou cinq jours. Indispensable sauternes.


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