Je n’ai jamais rencontré Marcel Lapierre. J’ai bu ses morgons si largement distribués sur la planète bistrotière parisienne sans être autrement convaincu par la version « nature » de ses vins. Le modèle sulfité était, comme souvent, bien meilleur. J’ai lu le merveilleux bouquin de Lapaque, je crois même l’avoir lu deux fois.
Là, il est mort et je ne sais pas trop quoi dire. Heureusement, il y en a qui savent. Allez faire un tour sur le blog de Jérôme Leroy, il en parle joliment à l’adresse ci-dessous :
http://www.causeur.fr/marcel-lapierre-mort-d%E2%80%99un-vigneron-francais,7648
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire